Le 21 juin, terrible paradoxe, jour de la fête de la musique, la plus belle des partitions s’est achevée…inachevée…
Dans cette salle des cérémonies baignée de lumière, beaucoup ont pris la parole pour exprimer leur chagrin, certains, comme l’un de tes professeurs , ont émis un bel hommage en parlant de toi telle que tu étais ma chérie, originale, drôle, plaisantine, mais aussi respectueuse des adultes, de tes professeurs avec lesquels tu appréciais les échanges .
Je crois que c’est ton universalité qui te rendait si populaire, cette capacité à t’adapter à toute personne que tu pouvais croiser, et ce besoin vital d’être entourée.
Je ne savais pas qu’il était possible de souffrir autant, aujourd’hui, je sais, et je sais que ça ne cessera jamais…