Ma chérie, mon Amour,
En voyant cette image je t’ai imaginée dans la même position, de jolies pâquerettes dans les cheveux, le nez au vent, rêvassant à je ne sais quoi, comme tu savais si bien le faire.
Et aussi parce que voilà, comme je l’ai déjà écris, je vois se profiler un nouveau printemps qui va refleurir sans toi mon Amour de petite fille.
Les pâquerettes dont tu savais faire de jolis colliers sont encore là, bien rangées, je ne sais pas si les enfants aujourd’hui créent encore ces petites merveilles avec quelques fleurs. J’imagine que tu aurais sans doute montré aux tiens comment transformer avec poésie des feuilles et des fleurs.
Combien de printemps encore…je ne sais pas.Je sais juste que ça fait mal au delà de l’imaginable.
Je t’aime à l’infini ma poupinette.