Il existait un paradis, un ailleurs, je pourrais patienter sereinement.
Mais hélas, mon esprit cartésien ne parvient pas à croire, et ça me fait si peur ma chérie, si peur car cela signifie que je ne te prendrai plus jamais dans les bras, je n’embrasserai plus jamais tes jolies joues si douces, je ne caresserai plus tes doux cheveux qui sentent si bon.
Je dois parvenir à croire à l’impossible sinon je ne tiendrai pas le coup.
Je t’envoie ces jolies roses ma tendre petite fille, mon Amour,
Maman qui t’aime à l’infini