Ma chérie, mon Amour,
Lasse de lutter chaque jour, je n’ai pas peur de la nuit.
Ces nuits qui me laissent un peu de répit en me préservant de la réalité,
Bien sûr, elles ne sont pas bien longues, et de surcroît, bien artificielles, mais
ces nuits parfois m’offrent le privilège de te voir vivante ! De te serrer contre mon coeur.
Mais le jour, ma petite fille, est bien cruel, la méchante réalité me torture .
La grande nuit, elle, sera sans doute bien douce, et qui sait ? peut être même merveilleuse, dans l’hypothèse où nous serons réunies, mon petit trésor.
Maman qui t’aime à l’infini