a quel point tu aurais été belle dans une splendide robe de mariée.
Tu aurais passé des jours à la choisir cette robe, j’aurais peut être, sans doute ma chérie, eu le privilège de t’assister dans ce choix.
Papa aurait été si fier de t’accompagner ce merveilleux jour, sauf que ce jour ne viendra jamais, quelle vie !
Est ce que, quelque part, la robe qui t’était destinée a été portée par une autre ? bizarre de penser à cela, cruel aussi.
Toutes ces questions nous usent, nous rongent, nous tuent à petit feu.
Je t’aime à l’infini ma tendre, mon adorable petite fille chérie, mon Amour de poupinette,
Maman